samedi 24 janvier 2009

Le délire anti-nazi

Le seul député d'obédience communiste jamais élu au Canada fut Fred Rose, alias Rosenberg, qui, en 1943, rassembla assez de votes dans une circonscription pullulant de non chrétiens pour s'introduire à la Chambre des Communes. En 1942, il publiait à Toronto un pamphlet calomniateur, Hitler's fifth Column in Quebec, où, bien sûr, il accusait Adrien Arcand d'être membre d'une « cinquième colonne nazie », avec des personnages aussi disparates que Jean Drapeau, Henri Bourassa et Wilfrid LaCroix, député fédéral qui avait présenté un projet de loi proscrivant le nazisme et le communisme le 24 mai 1941: M. Arcand ne pouvait répondre à cette attaque sournoise, étant injustement interné dans un camp de concentration.

En fait de « cinquième colonne » et de trahison, le camarade Fred Rose était un expert, se trouvant lui-même à la tête d'un réseau d'espionnage téléguidé par Moscou. C'est évidemment pour détourner l'attention de ses propres activités criminelles que ce lâche répandait des faussetés sur des citoyens respectables. Ce pion de Staline sera d'ailleurs dûment jugé et condamné après la guerre.

Le même manège se poursuit aujourd'hui, alors que le pilonnage contre un nazisme inexistant ne s'arrête pas une seconde, à la télévision, à la radio, dans les journaux, dans les manuels d'histoire, au cinéma, au théâtre, par mille moyens plus insidieux les uns que les autres, véritable écran de fumée pour le communisme international et ceux qui persécutent le peuple palestinien.

Nous avons généreusement accueilli au Canada une minorité d'anti-chrétiens qui ne peut pardonner à M. Arcand d'avoir voulu s'opposer à leurs manigances contre notre Civilisation, lesquelles produisent une dévastation sans précédent: crise économique, chômage, lutte de classes, esprit de révolte, immoralité, pornographie, irréligion. Ils ne peuvent pardonner et c'est pourquoi M. Arcand, mort et enterré, est encore frappé par leur vindicte, qui écrase l'opinion publique.

Parti de l'Unité National du Canada "Adrien Arcand devant le tribunal de l'histoire"

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire