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Soldat du Christ

Les articles qui suivent vont traités de sujets divers, politique, religion, histoire, autant du passé que du présent ou même du futur. La pensée de ce blog est catholique et nationaliste.

Plusieurs articles ont déja paru dans des livres ou des journaux mais ils sont toujours d'actualité ou apporte un certain intérêt. D'autres articles seront écrit par nous ou des amis.

Nous nous plaçons sous la protection de l'article 19 de la Déclaration des Droits de l'homme, qui stipule: ARTICLE 19 "Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontière, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit" Déclaration internationale des droits de l'homme, adoptée par l'Assemblée générale de l'ONU à Paris, le 10 décembre 1948.#


mardi 20 janvier 2009

Nos destinées, nos origines

Lors du baptême du roi Clovis et de plus de trois mille de ses guerriers, en cette nuit à jamais mémorable de Noël de l'an 496, le Christ lui-même fit entendre sa voix au milieu de l'assistance et demanda au roi et à ses sujets de persévérer dans sa dilection; puis l'évêque Saint-Rémi, transfiguré comme Moïse revenant du mont Sinaï, s'adressant au roi Clovis lui apprit solennellement que les Francs étaient prédestinés par Dieu à la défense de l'église Romaine, la seule véritable église du Christ, et qu'ils seraient victorieux et prospères tant et aussi longtemps qu'ils seraient fidèles à leur vocations(1) – Voilà la clef de voûte de nos destinées –

Connaissant l'histoire sainte de notre race, Saint-Pie X n'a pas craint d'en proclamer le rôle prédestiné, en déclarent le 19 décembre 1907, à l'archevêque de Reims, Monseigneur Luçon, nouvellement promu Cardinal, ce qui suit: «Reims conserve la source baptismale d'où est sortie toute la France chrétienne, et elle est justement appelée pour cela le diadème du royaume. C'étaient une heure ténébreuse pour l'église de Jésus-Christ. Elle était d'un côté combattue par les Ariens, de l'autre assaillie par les Barbares; elle n'avait plus d'autre refuge que la prière pour invoquer l'heure de Dieu. Et l'heure de Dieu sonna à Reims, en la fête de Noël 496. Le baptême de Clovis marqua la naissance d'une grande nation: la tribu de Juda de nouvelle, qui prospéra toujours tant qu'elle fut fidèle à l'orthodoxie, tant qu'elle maintint l'alliance du Sacerdoce et du pouvoir public, tant qu'elle se montra, non en paroles, mais en actes, la Fille ainée de l'Église.»(2)

Vous comprenez ainsi pourquoi, mesdames et messieurs, la mission de notre race a été de Clovis à Charlemagne, de Charlemagne à Saint-Louis, de Saint-Louis à Jeanne d'arc, de Jeanne d'arc à à Louis XVI, surnommé le roi martyr(3), une mission divine, et pourquoi aussi l'histoire a officiellement reconnu cette mission en désignant les prodiges accomplis par nos lointains aïeux par ces mots: Gesta dei per Francos, c,est à dire les œuvres de Dieu par les Francs, et en appelant la vieille France, notre mère patrie, la fille ainée de l'Église(4)

Et maintenant vous qui portez chapelets, médailles et scapulaires, croyez-vous que c,est pour la poursuite des richesses, des honneurs et des plaisirs, comme certains s'ingénient à nous le faire croire aujourd'hui que nos ancêtres sont venu du Canada.

Et vous vaillants colons qui, répondant à l'appel de nos missionnaires colonisateurs, avez enfoui tant de courage, tant de sacrifice et tant de chagrins secrets dans cette terre de l'Abitibi, croyez-vous que nos ancêtres sont venus ici simplement pour répandre les douceurs de la langue française et fonder un état français en Amérique.

Et vous, mamans canadiennes admirables, dont les portes du cœur se sont arrachées lorsque les fils et les filles que vous aviez tissés avec toutes les tendresses de votre âmes, sont partis au loin sur les mers en pays de mission user leur jeunesse, et vers qui tout votre amour, mêler de larmes, s'envole à tout moment..., croyez-vous que Jeanne-Mance, Maisonneuve, Marguerite Bourgeoys et Marie de l'Incarnation, sont venus au Canada et y ont vécu par simple goût de l'aventure.

Vous tous enfin qui m'écoutez, croyez-vous qu'il vaille la peine de vivre enchainés, exploités et meurtris de la naissance à la tombe , comme nous le sommes presque tous, par tout ce que peuvent inventer les esprits et les hommes mauvais, qu'il vaille la peine de vivre dis-je pour la simple possession de biens matériels qui tous, sans exception, à la mort nous glissent entre les doigts comme du sable.

Non mesdames et messieurs et vous le savez bien, seul l'Esprit de foi a donné à nos ancêtres, comme il peut nous les donner aussi, des raisons essentielles de vivre. Et seul l'Esprit de foi les a rendus, comme il peut le faire pour nous, plus grands qu'eux-mêmes. Parce que seule la Foi rend invincible et immortel.

Ce n'est donc pas sans raison, comme vous le voyez que notre Société Saint Jean-Baptiste de La Sarre a suggéré comme thème du défilé de cet après-midi: Notre Foi. En vérité notre foi a été la seule vraie ligne de force de notre survivance comme elle est la seule vrai garantie de notre épanouissement.

N'attachons donc pas trop d'importance aux idéaux de ceux qui veulent mettre en tête de nos préoccupations nationales, soit la pureté de la langue, soit la conquête économique, soit la souveraineté politique, tout en traitant comme valeur secondaire la source même de notre vie: la foi catholique, apostolique et romaine. – Une vérité nationale, quelle qu'elle soit, ne peut en aucune façon s'écarter de la vérité totale, une et invisible qui est Dieu. – Ce qui a fondamentalement fait la grandeur et la renommée de la culture française ce sont les enseignements de l'Évangile et de l'Église, sur lesquels elle a été basée.(5) Toute culture vient avant tout d'un culte et le culte de nos ancêtres a été et est celui que nous rendons au Christ. C'est en ce sens seul que les mots «civilisation chrétienne » signifient vraiment quelque chose.

Soyons donc éminemment fiers, Mesdames et Messieurs, d'être les héritiers et les porteurs de la plus belle et de la plus haute des civilisations qui aient encore existé sur notre globe. Car, depuis le commencement du monde à ce jour, il n'y a jamais eu de principes de vie et de morale comparables à ceux de l'Évangile du Christ et aux enseignements de son Église, l'Église catholique,(6) apostolique et romaine, parce qu'il n'y a eu que le Christ qui a rendu à l'homme toute sa noblesse en le recréant fils de Dieu(7), et en lui ouvrant les portages de la surnaturelle(8) par sa mort et sa résurrection. – C'est pour ces grandes vérités seules qu'ont vécu et sont mort nos ancêtres, Mesdames et Messieurs, sachez-le.

Oui, c'est à cause de leur foi au Christ que nos ancêtres ont planté des croix sur tous les promontoires du continent et à tous les quatre chemins, qu'ils ont baptisé les lacs, les fleuves et les rivières. C'est à cause de leur foi au Christ que nos ancêtres ont porté sur tous « les chemins qui marchent » et jusqu'aux confins du Mississipi le message de la Rédemption. C'est à cause de leur foi au Christ que nos ancêtres ont disputé pas à pas, la hache à la main et le mousquet sur l'épaule, le sol à la forêt et leur vie à l'Iroquois. C'est à cause de leur foi au Christ qu'ils ont porté au Long-Sault leur coeur comme un étendard et ont scellé le don total d'eux-mêmes dans le sang des Saints-Martyrs. Et lorsqu'en 1760, après avoir épuisé en vain tous les champs de bataille du continent et ayant tout perdu de leurs oeuvres et de leurs peines, seuls, avec leurs blessures, leur faim et leurs haillons, ils regardaient en pleurant s'éloigner de Québec les derniers vaisseaux de la France, c'est en serrant sur leur coeur, avec le drapeau de Carillon, la croix qui leur avait été confiée, qu'étouffant les sanglots de leurs gorges oppressées, ils y puisèrent leur résignation à ce sacrifice suprême et y trouvèrent les garanties de leur survivance. – Et le Christ, Mesdames et Messieurs, leur a donné la vie en surabondance. –

Ils continuèrent donc, malgré tout, et envers et contre tous, à baliser inlassablement les chemins du signe conduisant aux chantiers de la Rédemption, comme ils continuèrent à défricher obstinément sous le même carré de ciel pour y faire fleurir, en y mettant toujours un peu de l'âme de la vieille France, les campagnes de clochers et les paroisses d'autels.

Et voilà pourquoi nous avons aujourd'hui comme autant de phares éclairant les voyageurs de ce monde, des centaines de sanctuaires comme ceux de Ste-Anne de Beaupré, de Notre-Dame du Cap, de l'Oratoire St-Jospeh, où viennent se retremper de l'Esprit de nos pères les habitants du reste de l'Amérique.

Consacrant la mission que nos pères ont eue et que nous avons toujours de répandre, chacun de nous et où que nous soyons, la Foi catholique, apostolique et romaine en Amérique et de par le monde, le pape Saint-Pie X nous a donné comme Saint-Patron, en 1908, Saint Jean-Baptiste, en vertu de l'édit suivant : « Par Notre Autorité Suprême, nous proclamons Saint Jean-Baptiste, patron spécial auprès de Dieu des fidèles franco-canadiens, tant ceux qui sont au Canada que ceux qui vivent sur une terre étrangère ». Comme Saint Jean-Baptiste, soyons des précurseurs et rendons témoignage au Christ comme nos pères l'ont fait en étant dociles à l'Esprit-Saint. Nous aurons alors vraiment compris nos destinées et nous serons alors vraiment un témoignage, pour reprendre l'expression de Louis Hémoin, citée au début.

Que ceux donc qui, abandonnant cet esprit de foi qui a animé nos pères, enracinent leurs préoccupations dans les seuls biens matériels se rappellent le miracle de la survivance acadienne. Si les Acadiens ont pu se regrouper après « le grand dérangement » ce ne fut pas à cause de la richesse dont ils disposaient, mais à cause de leur esprit de foi seul, – seul l'Esprit vivifie – , ce qu'ils affirment magnifiquement à la face de l'univers en choisissant et chantant comme hymne national « l'Ave Marie Stella ».

Que ceux aussi qui vont jusqu'à renier cet esprit de foi de nos pères, en troquant pour de la vulgaire verroterie l'héritage sacré et la mission divine, se souviennent, de grâce, qu'ils n'auraient même pas eu l'existence n'eut été le courage et le renoncement sans borne de dix générations de femmes qui les ont portés sans faiblir sur les routes de ce pays, avec le corps et le sang de Jésus-Christ. – Sans morale, sans principes, sans esprit de foi, il n'y a pas de famille qui dure et se perpétue. –

La fête de la Saint Jean-Baptiste, c'est la fête, avons nous dit du souvenir, souvenir de nos origines, souvenir de nos destinées. Ce souvenir, Mesdames et Messieurs ne doit pas être ravivé qu'au jour de la Saint Jean-Baptiste. Non, Mesdames et Messieurs, pour être fidèles à l'esprit de nos pères nous devons graver dans nos coeurs, en lettres de feu, pour nous en souvenir à chaque instant de notre vie, que nous sommes non seulement les fils de découvreurs, des explorateurs, des évangélisateurs, des sacrifiés du Long-Sault, des preux légendaires de Carillon et de Ste-Foye, mais que nous sommes toujours les porteurs de la mission divine et les bras droits de la chrétienté.

Sachant que l'esprit de foi de nos pères leur a permis de survivre, – nous sommes tous ici pour en témoigner –, et, sachant que c'est le Christ seul qui les a rendu immortels, comme il peut le faire pour nous, nous devons dire à la suite du roi Clovis: « Vive le Christ, qui aime les Canadiens-Français! », afin que nos fils, lorsqu'ils entonneront l'O Canada à leur tour, comprennent ce que veulent dire ces mots : « il sait porter la croix... » et sachent parler eux aussi le langage de la patrie... éternelle

(1)Pour plus de détails, lire le livre merveilleux de Monsieur le Marquis de la Franquerie: «La Mission Divine de la France»

(2)Bulletin du Diocèse de Reims, 28 décembre 1907, p.621 Cité par Monsieur le Marquis de la Franquerie

(3)Voici ce que le Pape Pie VI a déclaré au Consistoire du 11 juin 1793: «... qui pourra jamais douter que ce monarque n'ait été principalement immolé en haine de la foi et par un esprit de fureur contre les dogmes catholiques? … nous avons la confiance qu'il a heureusement échangé une couronne royale toujours fragile et des lis qui se seraient flétris bientôt, contre cet autre diadème impérissable que les anges ont tissées de lis immortels... nous vous invitons au Service solennel que nous célébrons avec vous pour le repos de l'âme du Rois Louis XVI, quoique les prières puissent paraître superflues quand il s'agit d'un chrétien qu'on croit avoir mérité la palme du martyr, puisque Saint-Augustin dit que l'Église ne pris pas les martyrs, mais qu'elle se recommande plutôt à leurs prières.... (Un document révélateur, allocution consistoriale du Pape Pie VI sur la mort de Louis XVI, Imprimerie et Librairie Édouard Privat, 14 Rue des arts, Toulouse, 1917). Dans cette allocution le Pape Pie VI rappelle (page 47) sa réfutation, du 10 mars 1791 de la constitution sacrilège de 1789, comme il la qualifie textuellement.

(4)Qui, dans les temps présents, pouvait mieux confirmer cette appellation que Notre Seigneur lui-même: «Le premier roi, le premier souverain de la France , c'est moi... J'ai choisi la France pour la donner à mon Église comme sa fille de prédilection. À peine avait-elle plié sa tête sous mon joug qui est suave et léger, à peine avait-elle senti le sang de mon Cœur tomber sur son cœur pour la régénérer, pour la dépouiller de sa barbarie et lui communiquer ma Douceur et ma Charité qu'elle devint l'espoir de mes Pontifes et bientôt après, leur défense et leur soutien. Ils lui donnèrent le nom bien mérité de «Fille Ainée de L'Église». Le Sacré Cœur à Mère Marie Lataste, le 20 novembre 1843. Extrait de «La vie et les œuvres de Marie Lataste», par l'Abbé Pascal Darbine, tome III page 320, Ambroise Bray, Librairie-Éditeur, Paris, 1863.

(5)« On dit: la civilisation française, et on a raison; mais cette civilisation n'est pas autre chose que la civilisation catholique, apostolique et romaine et elle n'est dite française que parce que c'est la France qui en a tenu le flambeau! Aujourd'hui encore, dans tout l'Orient, malgré les Combes, les Clémenceau, les Briand, catholiques et français sont synonymes et tous les catholiques, fussent-ils espagnols, anglais ou italiens, ect... sont désignés sous le nom générique de Francs! Ah! la France avait pris pour base la pierre angulaire même de l'Église: le Christ; quoi d'étonnant qu'elle ait bénéficié de l'universalité du Christ et de l'Église? Et voilà, pour le dire en passant, le véritable internationalisme de la France! Mais c'est celui de l'Évangile, non celui du Talmud ou de la libre pensée, celui de l'Église romaine, non celui de la synagogue de Jérusalem, du temple de la rue Cadet ou de l'Église de Genève! Mais cet internationalisme loin de détruire la personnalité de la France, la suppose! Comment le flambeau de la Vérité catholique rayonnera-t-il, si vous supprimez le porte flambeau? » Abbé Vial : « Jeanne d'Arc et la Monarchie », chap. II, p.26-27. Cité par Monsieur le Marquis de la Franquerie dans La mission Divine de la France, p.13-14.

(6)« Entre l'Église catholique et les autres sociétés répandues sur la terre, il y a la même distance qu'entre les conceptions naturelles et les conceptions surnaturelles, qu'entre les conceptions humaines et les conceptions divines. Pour le monde païen la société et la cité étaient une même chose. Pour le Romain, la société était Rome; pour l'Athénien, Athènes. Hors d'Athènes et de Rome il n'y avait plus que nations barbares et incultes, sauvages et insociables par leur nature. Le christianisme a révélé à l'homme la société humaine, et comme si ce n'était pas assez, il lui a révélé une autre société beaucoup plus grande et excellente, à qui il n'a donné dans son immensité ni bornes ni fin. Elle a pour citoyens les saints qui triomphent au ciel, les justes qui souffrent dans le purgatoire, et les chrétiens qui combattent sur la terre. Qu'on lise attentivement une à une toutes les pages de l'histoire; après les avoir toutes méditées, on verra avec étonnement que cette conception gigantesque vient toute seule, qu'elle vient sans avertissement, et sans antécédent aucun; qu'elle vient comme une révélation surnaturelle, communiquée surnaturellement à l'homme. » (M. Donoso Cortes, Marquis de Valdegamas, dans son essai sur le Catholicisme, le Libéralisme et le Socialisme », Bruxelles, J.B. de Mortier, Éditeur, 1852, pages 41 et 42)

« Le catholicisme est un système complet de civilisation, si complet qu'il embrasse tout dans son immensité; la science de Dieu, la science de l'ange, la science de l'univers, la science de l'homme. »... Cette théologie est appelée catholique parce qu'elle est universelle, et cela dans tous les sens et sous tous les aspects: elle est universelle, parce qu'elle embrasse toutes les vérités; elle est universelle, parce qu'elle embrasse tout ce que toutes les vérités contiennent; elle est universelle parce que sa nature est destinée à s'étendre dans tous les espaces et à se prolonger dans tous les temps; elle est universelle dans son Dieu, universelle dans ses dogmes ». Donoso Cortes, idem, page 18-19.

(7)« Lorsque l'homme devint fils de Dieu, il cessa aussitôt d'être l'esclave de l'homme. » Donoso Cortes, idem, page 21.

(8)« Notre Seigneur Jésus-Christ a triomphé du monde exclusivement par des moyens surnaturels » Ibidem, page 52. « De même que l'Esprit-Saint avait transformé les Apôtres, les Apôtres transformèrent le monde, non par eux-mêmes, mais l'esprit invincible qui était en eux. » Ibidem, page 59. « ...avec le Saint-Esprit qui descendra sur vous, vous recevrez de la force, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu'aux extrémités de la terre. » (Actes, 1, 4-8) « ...animés du même esprit de foi dont il est écrit: « J'ai cru, c'est pourquoi j'ai parlé », nous aussi nous croyons et c'est pourquoi nous parlons. (St-Paul, II, Corinthiens, IV, 13-14, 18-1, 5.) « Nous avons été envoyés pour faire obéir toutes les nations à la foi. » St-Paul, Rom. 1. 5. « Pour nous, c'est de l'Esprit et par foi que nous attendons la justice espérée. » St-Paul, Galates, V, 1-6. « Qu'il vous soit fait selon votre foi » Mt. 9, 29. « Vois ! ta foi t'a sauvé! » Lc. 18,42. « Si toi, tu crois, tout est possible. » Mc. 9,18.

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